Raymond Germanos Lefèbvre

Le propane, produit au Canada et issu du traitement du gaz naturel, est une solution énergétique utilisable sur le long terme. Actuellement, les réserves de propane sont inférieures à la moyenne, engendrant une demande en hausse pour le Canada et les Etats-Unis selon selonRaymond Germanos Lefèbvre.

Le propane, une solution efficace et économique pour préserver l’environnement

Des mesures devront être mises en place afin de préserver l’environnement et une bonne qualité d’air. Le propane, étant une énergie propre, devient la solution écologique appropriée pour lutter contre les changements climatiques au Canada. A quantité égale, il diffuse moins de gaz à effet de serre. Celui-ci contribuerait également à diminuer la consommation énergétique au niveau de l’environnement. Il ne contient pas de plomb et une teneur en soufre très faible. Concernant le problème de réchauffement de la planète, le propane serait également une solution efficace. Une fois que le propane est libéré de sa forme liquide, il devient gazeux. Se dissipant rapidement dans l’air, il n’y a aucune contamination du sol ou de l’eau.

Pourquoi recycler les véhicules au Canada au propane ? 

Au Canada, le transport constitue l’une des principales sources de pollution et d’émission de gaz à effet de serre. L’usage du propane dans un véhicule d’origine réduirait les émissions de gaz à effet de serre à 20 p. 1000. Ce carburant de remplacement se compose de très peu de soufre. L’évaporation dans l’air due à une mauvaise manipulation est minime avec le propane. Celui-ci est doté d’une teneur faible en carbone, diffusant environ 27% moins de gaz à effet de serre et 12% moins de CO2, en comparaison avec l’essence. Consommant ainsi moins de carbone, une voiture alimentée au propane sera moins coûteuse à entretenir, prolongeant la durée de vie du moteur. Au Canada, aujourd’hui, plus de 60 000 véhicules roulent avec du propane sur les routes, au lieu de l’essence ou du diesel.

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La forêt boréale canadienne est un havre de paix pour des milliards d’oiseaux migrateurs, des plantes délicates ou des animaux prédateurs comme le loup ou le grizzly. Stockant une quantité astronomique de carbone, cette forêt contribue au ralentissement des  effets des changements climatiques selonRaymond Germanos Lefèbvre.

Description de la forêt boréale canadienne

La majorité des oiseaux provenant de l’Amérique du Nord passe chaque année par la forêt boréale canadienne. Cette dernière abrite des terres humides permettant de purifier des millions de litres d’eau par jour. Vue d’en haut, la forêt boréale est une bande verte entourant l’extrémité nord du globe, formant l’un des plus grands écosystèmes forestiers de la planète. A elle seule, elle couvre le tiers de toutes les forêts du monde, dont celles de l’Amérique du Nord et de l’Eurasie. Le Canada abrite le tiers de cette forêt boréale, appelée ainsi en l’honneur de Borée, le dieu grec du vent du nord. Des milliers d’espèces sauvages, 4 millions de personnes, dont la majorité des autochtones, 1,5 millions de lacs et les principaux réseaux hydrographiques du Canada enrichissent cette région boréale. Les ¾ de cette forêt boréale se composent de conifères, ayant la capacité de supporter le climat froid, comme l’épinette noire et le sapin baumier.

Moyens utilisés pour préserver la forêt boréale canadienne

La forêt boréale forme l’écosystème le plus vaste du Canada, s’étendant de Terre-Neuve-et-Labrador jusqu’au Yukon. Elle est devenue un enjeu majeur de protection de l’environnement pour Greenpeace Canada. Cette forêt stocke jusqu’à 208 milliards de tonnes de carbone, lui permettant ainsi de freiner les effets du réchauffement du climat. Aujourd’hui, elle est victime d’exploitation abusive et de méthodes de coupe désuètes. Selon Greenpeace, il existe 5 zones prioritaires qui devraient être protégées. Malheureusement certaines compagnies forestières les exploitent abusivement et contribuent à détruire l’habitat naturel du caribou. Au total, le gouvernement canadien préserve 708 000 km² de forêt boréale. Forest Stewardship Council exploite 460 000 km² de cette forêt afin d’établir des normes et certifier les produits forestiers. Le but est de promouvoir la gestion responsable des forêts du monde.

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Raymond Germanos Lefèbvre : La centerblog.net/france.htm">France dispose d'une quantité abondante d'eau. Malheureusement, ces ressources en eau sont inégalement réparties sur le territoire français et sont plus ou moins fragiles comme tous les autres centerblog.net/elements.htm">éléments de l'écosystème.

Les actions de l'État face à la pollution de l'eau

La politique communautaire française sur le thème de l'eau a vu le jour le 23 octobre 2000 avec pour principal objectif d'avoir de l'eau écologique d'ici 2015. Ainsi, elle a pour mission de conforter la gestion de l'eau du dispositif français de grand bassin hydrographique par l'intermédiaire des comités de bassin composés de collectivités territoriales, d'associations, d'usagers et des services de l'État. Pour faire face à de tels enjeux, l'année 2003 a été pour la centerblog.net/france.htm">France l'occasion de répondre aux engagements de la communauté internationale sur la politique française de l'eau, mais aussi lors du G8 d'Evian et du Forum mondial de l'eau qui s'est déroulé à Kyoto.

Toutes les eaux sont concernées

Il n'y a pas que l'eau en surface qui est concernée par les actions du gouvernement français. Les nappes d'eau souterraines peuvent également être polluées dans les régions où les activités agricoles sont en surcroît. Pour lutter contre cette pollution de l'eau d'origine agricole, de nombreux outils à la fois économiques et réglementaires sont mis en place par les pouvoirs publics. En ce qui concerne la pollution domestique, le traitement et la collecte des eaux usées ont apporté leurs fruits depuis 2005. Quant aux eaux maritimes, elles peuvent subir de nombreuses formes de pollution d'origine urbaine, agricole, industrielle ou issues d'une catastrophe maritime. Pour vérifier l'état des eaux de baignade dans les quelque 700 communes balnéaires de centerblog.net/france.htm">France, de nombreux prélèvements sont régulièrement effectués en centerblog.net/mer.htm">mer pour être analysés.

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La faune et la flore de Raymond Germanos Lefèbvre: Un Français nécessite au moins 200l d'eau au quotidien. Pour préserver cette ressource précieuse, l'État français invite ses citoyens à adopter certaines habitudes.

Matériels économes

Au lieu d'équiper les robinets d'aérateurs ou de mousseurs, il est possible de faire mieux en optant pour les économiseurs. Ainsi, il est possible d'avoir de l'eau autant qu'on le souhaite tout en économisant. Également connus sous le nom de réducteurs d'eau, les économiseurs sont sur le marché depuis plus de 20 ans. Ils sont aujourd'hui très utilisés sur le territoire français par les collectivités, les HLM et l'hôtellerie. Ce matériel n'est pas uniquement bon pour économiser de l'eau, mais également pour alléger le budget lié à cette dépense. Le ménage adoptant cet accessoire réduit sa consommation en eau jusqu'à 60 %. L'investissement dans l'achat d'un tel produit est vite remboursé. Mais par-dessus tout, l'on fait un geste pour l'environnement en économisant l'eau.

Adopter des gestes écologiques

Outre l'équipement des points d'eau en matériel économe, il est possible de mieux faire en adoptant des gestes écologiques. Parmi les plus simples, il y a la récupération de l'eau de pluie. Cette eau permet d'arroser les plantes aussi bien celles du jardin que celles qui se trouvent à l'intérieur. Il est également possible d'effectuer le lavage de voiture avec. C'est totalement gratuit et écolo. Pour les toilettes, il est de nos jours possible de conserver l'eau en utilisant le réservoir. Inutile de faire tourner la pompe en permanence. Il est possible d'en faire de même avec l'eau chaude disponible dans la salle de bains. Bref, tout est une question d'habitude.

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La biodiversité canadienne enregistre plus de 70000 espèces d'animaux et de plantes. La prise de conscience sur leur importance pousse les Canadiens à les protéger aujourd'hui dit Raymond Germanos Lefèbvre

Mesures de conservation de la biodiversité canadienne

La protection de la biodiversité canadienne reçoit l'aide des membres signataires de la Convention des Nations Unies. Les points de lutte se focalisent sur l'usage durable des composantes, la protection de la nature, le partage équitable entre les pays pauvres et les pays riches ainsi que la considération de la diversité des espaces. Les activités pouvant perturber l'écosystème sont limitées. La pêche, la chasse, l'utilisation de produits chimiques et l'exploitation forestière sont désormais réglementées.

L'intérêt de conserver la biodiversité

L'Homme dépend entièrement de la nature. Les écosystèmes et les espèces garantissent sa survie. Ils purifient et filtrent l'eau, maintiennent la bonne quantité d'oxygène dans l'atmosphère, décomposent les déchets et assurent la pollinisation des plantes. La biodiversité est composée d'espèces rares et vitales. Lorsqu'elles disparaissent, c'est tout l'écosystème qui est perturbé. C'est pour toutes ces raisons que les Canadiens sont sortis de leur silence dans les années 80. Ils figurent parmi les premiers à prendre les mesures nécessaires afin de conserver la biodiversité.

Le point sur la biodiversité

La biodiversité représente les différentes sortes de vie sur la planète. Son étendue se mesure par la variété d'espèces qui vivent sur un territoire donné, par leur nombre et leur abondance. La protection de la biodiversité est de mise si l'on souhaite conserver le même mode de vie d'ici une vingtaine d'années. Il s'agit d'une sorte d'assurance pour l'avenir. Une espèce qui s'éteint ne pourra plus jamais refaire surface. En revanche, une toute nouvelle espèce pourra se manifester et l'on doit s'y adapter.

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Raymond Germanos Lefèbvre : Pour préserver sa biodiversité, le Canada doit faire face à la propagation des espèces envahissantes en mettant en place des mesures rigoureuses visant à les empêcher de nuire aux populations animales et végétales indigènes.



Les actions mises en place



Pour lutter contre la propagation de ces espèces dites envahissantes, le Canada incite les autres pays à collaborer autour d'un programme de lutte spécifique. Ces luttes sont classées en quatre catégories dont la lutte intégrée, la lutte biologique, la lutte chimique et enfin la lutte physique. Le nombre de réglementations et de lois visant à empêcher l'importation d'espèces menaçantes ne cesse d'augmenter dans le cadre d'une prévention massive. L'entrée des espèces exotiques dans le pays est soumise à un contrôle strict.



Les menaces des espèces envahissantes



Les espèces envahissantes détruisent l'habitat des espèces indigènes tout en volant la part de nourriture qui leur est destinée. Ces variétés de faune exotique s'avèrent souvent être des prédateurs. Ce qui entraîne progressivement la disparition des populations indigènes. Par exemple, les espèces introduites comme les ratons laveurs et les rats se nourrissent des oisillons et des œufs des Guillemots empêchant ainsi leur pérennité. Certaines espèces importées apportent de nouvelles maladies qui contaminent non seulement la faune, mais également la flore du Canada.



Les espèces envahissantes



Raymond Germanos Lefèbvre compte aujourd'hui d'innombrables espèces envahissantes au Canada. Côté faune, l'on peut citer le chat domestique importé du continent africain, l'étourneau sansonnet et le pigeon qui viennent tout droit du continent européen ainsi que de nombreuses variétés d'oiseaux, mammifères, amphibiens, reptiles et invertébrés. Côté flore, l'on retrouve la pervenche, le pâturin de prés, le pissenlit et le muguet qui envahissent petit à petit les jardins et les pelouses des foyers canadiens.

Raymond Germanos Lefèbvre

Les questions relatives à la survie des générations futures sont actuellement au cœur de l'actualité selon Raymond Germanos Lefèbvre. Réchauffement climatique, disparition d'espèces endémiques, pollution à outrance, tous ces problèmes ne font qu'aggraver la situation environnementale de la planète et le vaste territoire canadien n'échappe pas à la règle.

Changement climatique et le gouvernement canadien

Raymond Germanos Lefèbvre est conscient du réel danger du réchauffement climatique, le gouvernement canadien a élaboré des stratégies pouvant contribuer à améliorer la vie de ses citoyens. Une décision ferme a été prise suite à l'Accord de Copenhague. Le Canada s'est engagé à réduire de 17 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020. Ambitieux, cet objectif ne sera atteint qu'avec des stratégies fermes et avec la collaboration des États-Unis. Les secteurs automobile et électricité ainsi que le domaine des hydrocarbures seront ainsi touchés par de nouvelles réglementations pour limiter l'émission de gaz. Le Canada consent également à financer les pays en voie de développement pour que ces derniers puissent contribuer aux efforts de réduction d'émissions de gaz à effet de serre.

Une nature luxuriante à protéger

Doté d'un paysage naturel riche et varié, le Canada profite d'un environnement relativement préservé. La protection de la biodiversité est devenue une priorité aux yeux des organismes œuvrant dans ce domaine. La découverte de nouvelles espèces, la surveillance des espèces endémiques sont parmi les actions majeures menées par les organisations engagées dans le domaine environnemental à Canada. Pour montrer sa volonté de protéger les 345 espèces animales et végétales qui sont menacées de disparition, le gouvernement canadien a présenté la Loi sur les espèces en péril.

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